Et si Andy Warhol avait tort, et qu'au lieu d'un quart d'heure de célébrité nous n'avions qu'un quart d'heure d'anonymat ?
Dans cette courte intervention, Juan Enriquez parle des effets étonnamment permanents de la divulgation numérique de notre vie privée.
Il nous donne les clés des Grecs Anciens pour nous aider à gérer nos nouveaux "tatouages électroniques".
Your online life, permanent as a tattoo (la video ci-dessous est sous-titrée en français).